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Emilia Faur
Viața e a mea , Polirom
Emilia Faur a étudié la philosophie à l’Université de Cluj-Napoca. Elle a signé des articles et des recensions, des textes en prose et des poèmes dans des revues littéraires telles que Vatra, Apostrof ou Tribuna.
Écrit sous la forme d’un roman policier, Viaţa e a mea, La Vie m’appartient, est bâti sur la mort suspecte d’Angela Pop, personnage central du récit, autour duquel les vies de tous les protagonistes du roman prennent forme et s’entrecroisent. Les lignes narratives concentriques convergent vers la réponse à la question suivante : la mort d’Angela est-elle un meurtre ou un suicide ? Le suspens et la tension narrative sont maintenues jusqu’à la fin du roman, au travers duquel l’autrice déconstruit les stéréotypes et préjugés liés à la famille, au genre, à la sexualité, aux troubles mentaux, pour appeler à la réflexion, l’acceptation, la compréhension et l’empathie.
E porunca aia: iubește‑l pe celălalt ca pe tine însuți. Nu‑l iubi. Nu trebuie. Înțelege‑l. Dacă‑ți vine dup‑aia să‑l iubești, bine, dacă nu, iar bine. Nici nu mai contează, ai să vezi.
Le commandement dit : tu aimeras ton prochain comme toi‑même. Non, ne l’aime pas. Tu n’as pas à le faire. Comprends‑le. Si après, tu as envie de l’aimer, très bien, sinon, c’est tout aussi bien. Cela n’aura plus d’importance, tu verras.
”Emilia Faur
Par les lecteurs de Lectures Plurielles
Emilia Faur
Par les lecteurs de Lectures Plurielles